914 resultados para Anévrisme de l’aorte abdominal


Relevância:

100.00% 100.00%

Publicador:

Resumo:

Le traitement chirurgical des anévrismes de l'aorte abdominale est de plus en plus remplacé par la réparation endovasculaire de l’anévrisme (« endovascular aneurysm repair », EVAR) en utilisant des endoprothèses (« stent-grafts », SGs). Cependant, l'efficacité de cette approche moins invasive est compromise par l'incidence de l'écoulement persistant dans l'anévrisme, appelé endofuites menant à une rupture d'anévrisme si elle n'est pas détectée. Par conséquent, une surveillance de longue durée par tomodensitométrie sur une base annuelle est nécessaire ce qui augmente le coût de la procédure EVAR, exposant le patient à un rayonnement ionisants et un agent de contraste néphrotoxique. Le mécanisme de rupture d'anévrisme secondaire à l'endofuite est lié à une pression du sac de l'anévrisme proche de la pression systémique. Il existe une relation entre la contraction ou l'expansion du sac et la pressurisation du sac. La pressurisation résiduelle de l'anévrisme aortique abdominale va induire une pulsation et une circulation sanguine à l'intérieur du sac empêchant ainsi la thrombose du sac et la guérison de l'anévrisme. L'élastographie vasculaire non-invasive (« non-invasive vascular elastography », NIVE) utilisant le « Lagrangian Speckle Model Estimator » (LSME) peut devenir une technique d'imagerie complémentaire pour le suivi des anévrismes après réparation endovasculaire. NIVE a la capacité de fournir des informations importantes sur l'organisation d'un thrombus dans le sac de l'anévrisme et sur la détection des endofuites. La caractérisation de l'organisation d'un thrombus n'a pas été possible dans une étude NIVE précédente. Une limitation de cette étude était l'absence d'examen tomodensitométrique comme étalon-or pour le diagnostic d'endofuites. Nous avons cherché à appliquer et optimiser la technique NIVE pour le suivi des anévrismes de l'aorte abdominale (AAA) après EVAR avec endoprothèse dans un modèle canin dans le but de détecter et caractériser les endofuites et l'organisation du thrombus. Des SGs ont été implantés dans un groupe de 18 chiens avec un anévrisme créé dans l'aorte abdominale. Des endofuites de type I ont été créés dans 4 anévrismes, de type II dans 13 anévrismes tandis qu’un anévrisme n’avait aucune endofuite. L'échographie Doppler (« Doppler ultrasound », DUS) et les examens NIVE ont été réalisés avant puis à 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois après l’EVAR. Une angiographie, une tomodensitométrie et des coupes macroscopiques ont été réalisées au moment du sacrifice. Les valeurs de contrainte ont été calculées en utilisant l`algorithme LSME. Les régions d'endofuite, de thrombus frais (non organisé) et de thrombus solide (organisé) ont été identifiées et segmentées en comparant les résultats de la tomodensitométrie et de l’étude macroscopique. Les valeurs de contrainte dans les zones avec endofuite, thrombus frais et organisé ont été comparées. Les valeurs de contrainte étaient significativement différentes entre les zones d'endofuites, les zones de thrombus frais ou organisé et entre les zones de thrombus frais et organisé. Toutes les endofuites ont été clairement caractérisées par les examens d'élastographie. Aucune corrélation n'a été trouvée entre les valeurs de contrainte et le type d'endofuite, la pression de sac, la taille des endofuites et la taille de l'anévrisme.

Relevância:

90.00% 90.00%

Publicador:

Resumo:

La réparation endovasculaire (EVAR) est une technique minimalement invasive permettant de traiter l’anévrisme de l’aorte abdominale (AAA) par l’entremise d’un stent- graft (SG). L’utilisation d’EVAR est actuellement limitée par de fréquentes complications liées à une guérison inadéquate autour de l’implant. Ce manque de guérison est principalement dû au type de recouvrement polymérique des SG, au milieu pro-apoptotique des AAA et à l’accès réduit aux nutriments et à l’oxygène après EVAR. L’objectif de cette thèse consistait à concevoir un revêtement bioactif permettant d’inhiber l’apoptose et stimuler la croissance des cellules musculaires lisses vasculaires (CMLV), pour ainsi favoriser la guérison des tissus vasculaires autour des SG. La chondroïtine-4-sulfate (CS) a d’abord été choisie, car elle a été identifiée comme un médiateur important de la réparation vasculaire. Il a été démontré que la CS en solution influence directement la résistance à l’apoptose des CMLV, en plus de favoriser la différenciation myofibroblastique chez les fibroblastes. Dans le cadre de ce projet, un premier revêtement à base de CS et de collagène a été créé. Bien que le revêtement permettait d’induire une résistance à l’apoptose chez les CMLV, il se désintégrait trop rapidement dans des conditions aqueuses. Une nouvelle méthodologie a donc été adaptée afin de greffer la CS directement sur des surfaces aminées, à l’aide d’un système utilisant un carbodiimide. Dans le but d’accroître la croissance des CMLV à la surface des revêtements, le facteur de croissance de l’épiderme (EGF) a ensuite été sélectionné. En plus de ses propriétés mitogéniques et chimiotactiques, l’EGF stimule la production d’éléments de la matrice extracellulaire, comme le collagène et la fibronectine. De plus, l’activation du récepteur de l’EGF inhibe également l’apoptose des CMLV. L’EGF a donc été greffé sur la CS. Le revêtement de CS+EGF a démontré une bonne uniformité et bioactivité sur des surfaces de verre aminé. iii iv Dans une 3ème étape, afin de permettre de transposer ce revêtement bioactif sur des implants, plusieurs méthodes permettant de créer des groupements d’amines primaires sur les biomatériaux polymériques comme le PET ou le ePTFE ont été étudiées. La polymérisation par plasma a été choisie pour créer le revêtement CS+EGF à la surface de PET. Une fois de plus, celui-ci a permis d’inhiber l’apoptose des CMLV, dans des conditions pro-apoptotiques, et de favoriser la croissance des cellules. Le revêtement de CS et d’EGF, déposé sur des surfaces aminées, possède des caractéristiques biologiques intéressantes et semble donc prometteur pour favoriser une meilleure guérison autour des SG.

Relevância:

90.00% 90.00%

Publicador:

Resumo:

Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde et les anévrismes de l’aorte abdominale (AAAs) font partie de ce lot déplorable. Un anévrisme est la dilatation d’une artère pouvant conduire à la mort. Une rupture d’AAA s’avère fatale près de 80% du temps. Un moyen de traiter les AAAs est l’insertion d’une endoprothèse (SG) dans l’aorte, communément appelée la réparation endovasculaire (EVAR), afin de réduire la pression exercée par le flux sanguin sur la paroi. L’efficacité de ce traitement est compromise par la survenue d’endofuites (flux sanguins entre la prothèse et le sac anévrismal) pouvant conduire à la rupture de l’anévrisme. Ces flux sanguins peuvent survenir à n’importe quel moment après le traitement EVAR. Une surveillance par tomodensitométrie (CT-scan) annuelle est donc requise, augmentant ainsi le coût du suivi post-EVAR et exposant le patient à la radiation ionisante et aux complications des contrastes iodés. L’endotension est le concept de dilatation de l’anévrisme sans la présence d’une endofuite apparente au CT-scan. Après le traitement EVAR, le sang dans le sac anévrismal coagule pour former un thrombus frais, qui deviendra progressivement un thrombus plus fibreux et plus organisé, donnant lieu à un rétrécissement de l’anévrisme. Il y a très peu de données dans la littérature pour étudier ce processus temporel et la relation entre le thrombus frais et l’endotension. L’étalon d’or du suivi post-EVAR, le CT-scan, ne peut pas détecter la présence de thrombus frais. Il y a donc un besoin d’investir dans une technique sécuritaire et moins coûteuse pour le suivi d’AAAs après EVAR. Une méthode récente, l’élastographie dynamique, mesure l’élasticité des tissus en temps réel. Le principe de cette technique repose sur la génération d’ondes de cisaillement et l’étude de leur propagation afin de remonter aux propriétés mécaniques du milieu étudié. Cette thèse vise l’application de l’élastographie dynamique pour la détection des endofuites ainsi que de la caractérisation mécanique des tissus du sac anévrismal après le traitement EVAR. Ce projet dévoile le potentiel de l’élastographie afin de réduire les dangers de la radiation, de l’utilisation d’agent de contraste ainsi que des coûts du post-EVAR des AAAs. L’élastographie dynamique utilisant le « Shear Wave Imaging » (SWI) est prometteuse. Cette modalité pourrait complémenter l’échographie-Doppler (DUS) déjà utilisée pour le suivi d’examen post-EVAR. Le SWI a le potentiel de fournir des informations sur l’organisation fibreuse du thrombus ainsi que sur la détection d’endofuites. Tout d’abord, le premier objectif de cette thèse consistait à tester le SWI sur des AAAs dans des modèles canins pour la détection d’endofuites et la caractérisation du thrombus. Des SGs furent implantées dans un groupe de 18 chiens avec un anévrisme créé au moyen de la veine jugulaire. 4 anévrismes avaient une endofuite de type I, 13 avaient une endofuite de type II et un anévrisme n’avait pas d’endofuite. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été réalisés à l’implantation, puis 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois après le traitement EVAR. Une angiographie, un CT-scan et des coupes macroscopiques ont été produits au sacrifice. Les régions d’endofuites, de thrombus frais et de thrombus organisé furent identifiées et segmentées. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions furent comparées. Celles-ci furent différentes de façon significative (P < 0.001). Également, le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (1) et le DUS (3) ont échoué. Dans la continuité de ces travaux, le deuxième objectif de ce projet fut de caractériser l’évolution du thrombus dans le temps, de même que l’évolution des endofuites après embolisation dans des modèles canins. Dix-huit anévrismes furent créés dans les artères iliaques de neuf modèles canins, suivis d’une endofuite de type I après EVAR. Deux gels embolisants (Chitosan (Chi) ou Chitosan-Sodium-Tetradecyl-Sulfate (Chi-STS)) furent injectés dans le sac anévrismal pour promouvoir la guérison. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été effectués à l’implantation et après 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois. Une angiographie, un CT-scan et un examen histologique ont été réalisés au sacrifice afin d’évaluer la présence, le type et la grosseur de l’endofuite. Les valeurs du module d’élasticité des régions d’intérêts ont été identifiées et segmentées sur les données pathologiques. Les régions d’endofuites et de thrombus frais furent différentes de façon significative comparativement aux autres régions (P < 0.001). Les valeurs d’élasticité du thrombus frais à 1 semaine et à 3 mois indiquent que le SWI peut évaluer la maturation du thrombus, de même que caractériser l’évolution et la dégradation des gels embolisants dans le temps. Le SWI a pu détecter des endofuites où le DUS a échoué (2) et, contrairement au CT-scan, détecter la présence de thrombus frais. Finalement, la dernière étape du projet doctoral consistait à appliquer le SWI dans une phase clinique, avec des patients humains ayant déjà un AAA, pour la détection d’endofuite et la caractérisation de l’élasticité des tissus. 25 patients furent sélectionnés pour participer à l’étude. Une comparaison d’imagerie a été produite entre le SWI, le CT-scan et le DUS. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions (endofuite, thrombus) furent identifiées et segmentées. Celles-ci étaient distinctes de façon significative (P < 0.001). Le SWI a détecté 5 endofuites sur 6 (sensibilité de 83.3%) et a eu 6 faux positifs (spécificité de 76%). Le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (2) ainsi que le DUS (2) ont échoué. Il n’y avait pas de différence statistique notable entre la rigidité du thrombus pour un AAA avec endofuite et un AAA sans endofuite. Aucune corrélation n’a pu être établie de façon significative entre les diamètres des AAAs ainsi que leurs variations et l’élasticité du thrombus. Le SWI a le potentiel de détecter les endofuites et caractériser le thrombus selon leurs propriétés mécaniques. Cette technique pourrait être combinée au suivi des AAAs post-EVAR, complémentant ainsi l’imagerie DUS et réduisant le coût et l’exposition à la radiation ionisante et aux agents de contrastes néphrotoxiques.

Relevância:

90.00% 90.00%

Publicador:

Resumo:

Les maladies cardiovasculaires sont la première cause de mortalité dans le monde et les anévrismes de l’aorte abdominale (AAAs) font partie de ce lot déplorable. Un anévrisme est la dilatation d’une artère pouvant conduire à la mort. Une rupture d’AAA s’avère fatale près de 80% du temps. Un moyen de traiter les AAAs est l’insertion d’une endoprothèse (SG) dans l’aorte, communément appelée la réparation endovasculaire (EVAR), afin de réduire la pression exercée par le flux sanguin sur la paroi. L’efficacité de ce traitement est compromise par la survenue d’endofuites (flux sanguins entre la prothèse et le sac anévrismal) pouvant conduire à la rupture de l’anévrisme. Ces flux sanguins peuvent survenir à n’importe quel moment après le traitement EVAR. Une surveillance par tomodensitométrie (CT-scan) annuelle est donc requise, augmentant ainsi le coût du suivi post-EVAR et exposant le patient à la radiation ionisante et aux complications des contrastes iodés. L’endotension est le concept de dilatation de l’anévrisme sans la présence d’une endofuite apparente au CT-scan. Après le traitement EVAR, le sang dans le sac anévrismal coagule pour former un thrombus frais, qui deviendra progressivement un thrombus plus fibreux et plus organisé, donnant lieu à un rétrécissement de l’anévrisme. Il y a très peu de données dans la littérature pour étudier ce processus temporel et la relation entre le thrombus frais et l’endotension. L’étalon d’or du suivi post-EVAR, le CT-scan, ne peut pas détecter la présence de thrombus frais. Il y a donc un besoin d’investir dans une technique sécuritaire et moins coûteuse pour le suivi d’AAAs après EVAR. Une méthode récente, l’élastographie dynamique, mesure l’élasticité des tissus en temps réel. Le principe de cette technique repose sur la génération d’ondes de cisaillement et l’étude de leur propagation afin de remonter aux propriétés mécaniques du milieu étudié. Cette thèse vise l’application de l’élastographie dynamique pour la détection des endofuites ainsi que de la caractérisation mécanique des tissus du sac anévrismal après le traitement EVAR. Ce projet dévoile le potentiel de l’élastographie afin de réduire les dangers de la radiation, de l’utilisation d’agent de contraste ainsi que des coûts du post-EVAR des AAAs. L’élastographie dynamique utilisant le « Shear Wave Imaging » (SWI) est prometteuse. Cette modalité pourrait complémenter l’échographie-Doppler (DUS) déjà utilisée pour le suivi d’examen post-EVAR. Le SWI a le potentiel de fournir des informations sur l’organisation fibreuse du thrombus ainsi que sur la détection d’endofuites. Tout d’abord, le premier objectif de cette thèse consistait à tester le SWI sur des AAAs dans des modèles canins pour la détection d’endofuites et la caractérisation du thrombus. Des SGs furent implantées dans un groupe de 18 chiens avec un anévrisme créé au moyen de la veine jugulaire. 4 anévrismes avaient une endofuite de type I, 13 avaient une endofuite de type II et un anévrisme n’avait pas d’endofuite. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été réalisés à l’implantation, puis 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois après le traitement EVAR. Une angiographie, un CT-scan et des coupes macroscopiques ont été produits au sacrifice. Les régions d’endofuites, de thrombus frais et de thrombus organisé furent identifiées et segmentées. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions furent comparées. Celles-ci furent différentes de façon significative (P < 0.001). Également, le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (1) et le DUS (3) ont échoué. Dans la continuité de ces travaux, le deuxième objectif de ce projet fut de caractériser l’évolution du thrombus dans le temps, de même que l’évolution des endofuites après embolisation dans des modèles canins. Dix-huit anévrismes furent créés dans les artères iliaques de neuf modèles canins, suivis d’une endofuite de type I après EVAR. Deux gels embolisants (Chitosan (Chi) ou Chitosan-Sodium-Tetradecyl-Sulfate (Chi-STS)) furent injectés dans le sac anévrismal pour promouvoir la guérison. Des examens échographiques, DUS et SWI ont été effectués à l’implantation et après 1 semaine, 1 mois, 3 mois et 6 mois. Une angiographie, un CT-scan et un examen histologique ont été réalisés au sacrifice afin d’évaluer la présence, le type et la grosseur de l’endofuite. Les valeurs du module d’élasticité des régions d’intérêts ont été identifiées et segmentées sur les données pathologiques. Les régions d’endofuites et de thrombus frais furent différentes de façon significative comparativement aux autres régions (P < 0.001). Les valeurs d’élasticité du thrombus frais à 1 semaine et à 3 mois indiquent que le SWI peut évaluer la maturation du thrombus, de même que caractériser l’évolution et la dégradation des gels embolisants dans le temps. Le SWI a pu détecter des endofuites où le DUS a échoué (2) et, contrairement au CT-scan, détecter la présence de thrombus frais. Finalement, la dernière étape du projet doctoral consistait à appliquer le SWI dans une phase clinique, avec des patients humains ayant déjà un AAA, pour la détection d’endofuite et la caractérisation de l’élasticité des tissus. 25 patients furent sélectionnés pour participer à l’étude. Une comparaison d’imagerie a été produite entre le SWI, le CT-scan et le DUS. Les valeurs de rigidité données par le SWI des différentes régions (endofuite, thrombus) furent identifiées et segmentées. Celles-ci étaient distinctes de façon significative (P < 0.001). Le SWI a détecté 5 endofuites sur 6 (sensibilité de 83.3%) et a eu 6 faux positifs (spécificité de 76%). Le SWI a pu détecter la présence d’endofuites où le CT-scan (2) ainsi que le DUS (2) ont échoué. Il n’y avait pas de différence statistique notable entre la rigidité du thrombus pour un AAA avec endofuite et un AAA sans endofuite. Aucune corrélation n’a pu être établie de façon significative entre les diamètres des AAAs ainsi que leurs variations et l’élasticité du thrombus. Le SWI a le potentiel de détecter les endofuites et caractériser le thrombus selon leurs propriétés mécaniques. Cette technique pourrait être combinée au suivi des AAAs post-EVAR, complémentant ainsi l’imagerie DUS et réduisant le coût et l’exposition à la radiation ionisante et aux agents de contrastes néphrotoxiques.

Relevância:

40.00% 40.00%

Publicador:

Resumo:

Ce travail de thèse porte sur la simulation du déploiement des prothèses vasculaires de type stent-graft (SG) lors de la réparation endovasculaire (EVAR) des anévrismes de l’aorte abdominale (AAA). Cette étude se présente en trois parties: (i) tests mécaniques en flexion et compression de SG couramment utilisés (corps et jambage de marque Cook) ainsi que la simulation numérique desdits tests, (ii) développement d’un modèle numérique d’anévrisme, (iii) stratégie de simulation du déploiement des SG. La méthode numérique employée est celle des éléments finis. Dans un premier temps, une vérification du modèle éléments finis (MEF) des SG est realisée par comparaison des différents cas de charge avec leur pendant expérimental. Ensuite, le MEF vasculaire (AAA) est lui aussi vérifié lors d’une comparaison des niveaux de contraintes maximales principales dans la paroi avec des valeurs de la littérature. Enfin, le déploiement est abordé tout en intégrant les cathéters. Les tests mécaniques menés sur les SG ont été simulés avec une différence maximale de 5,93%, tout en tenant compte de la pré-charge des stents. Le MEF de la structure vasculaire a montré des contraintes maximales principales éloignées de 4,41% par rapport à un modèle similaire précédemment publié. Quant à la simulation du déploiement, un jeu complet de SG a pu être déployé avec un bon contrôle de la position relative et globale, dans un AAA spécifique pré-déformé, sans toutefois inclure de thrombus intra-luminal (TIL). La paroi du AAA a été modélisée avec une loi de comportement isotropique hyperélastique. Étant donné que la différence maximale tolérée en milieu clinique entre réalité et simulation est de 5%, notre approche semble acceptable et pourrait donner suite à de futurs développements. Cela dit, le petit nombre de SG testés justifie pleinement une vaste campagne de tests mécaniques et simulations supplémentaires à des fins de validation.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

The aim of the present study was to examine body concern and satisfactions in 191 female university students and their relationships with measured body composition and circumferences of selected body parts. Body composition and circumference measurements of participants were conducted after obtaining their consent. Body concern and satisfaction were determined using the Body Shape Questionnaire (BSQ) and the Body parts and General subscales from the Body Satisfaction Scales (BSS). Increase in body composition and circumferences were associated with decrease in body concern and satisfaction. Increase in body size, including circumferences did not decrease whole body satisfaction but increased dissatisfaction at the abdominal, arm and thigh regions.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Background: The two-stage Total Laparoscopic Hysterectomy (TLH) versus Total Abdominal Hysterectomy (TAH) for stage I endometrial cancer (LACE) randomised controlled trial was initiated in 2005. The primary objective of stage 1 was to assess whether TLH results in equivalent or improved QoL up to 6 months after surgery compared to TAH. The primary objective of stage 2 was to test the hypothesis that disease-free survival at 4.5 years is equivalent for TLH and TAH. Results addressing the primary objective of stage 1 of the LACE trial are presented here. Methods: The first 361 LACE participants (TAH n= 142, TLH n=190) were enrolled in the QoL substudy at 19 centres across Australia, New Zealand and Hong Kong, and 332 completed the QoL analysis. Randomisation was performed centrally and independently from other study procedures via a computer generated, web-based system (providing concealment of the next assigned treatment) using stratified permuted blocks of 3 and 6, and assigned patients with histologically confirmed stage 1 endometrioid endometrial adenocarcinoma and ECOG performance status <2 to TLH or TAH stratified by histological grade and study centre. No blinding of patients or study personnel was attempted. QoL was measured at baseline, 1 and 4 weeks (early), and 3 and 6 months (late) after surgery using the Functional Assessment of Cancer Therapy-General (FACT-G) questionnaire. The primary endpoint was the difference between the groups in QoL change from baseline at early and late time points (a 5% difference was considered clinically significant). Analysis was performed according to the intention-to-treat principle using generalized estimating equations on differences from baseline for the early and late QoL recovery. The LACE trial is registered with clinicaltrials.gov (NCT00096408) and the Australian New Zealand Clinical Trials Registry (CTRN12606000261516). Patients for both stages of the trial have now been recruited and are being followed up for disease-specific outcomes. Findings: The proportion of missing values at the 5%, 10% 15% and 20% differences in the FACT-G scale was 6% (12/190) in the TLH and 14% (20/142) in the TAH group. There were 8/332 conversions (2.4%, 7 of which were from TLH to TAH). In the early phase of recovery, patients undergoing TLH reported significantly greater improvement of QoL from baseline compared to TAH in all subscales except the emotional and social well-being subscales. Improvements in QoL up to 6 months post-surgery continued to favour TLH except for the emotional and social well-being of the FACT and the visual analogue scale of the EuroQoL five dimensions (EuroQoL-VAS). Length of operating time was significantly longer in the TLH group (138±43 mins), than in the TAH group at (109±34 mins; p=0.001). While the proportion of intraoperative adverse events was similar between the treatment groups (TAH 8/142, 5.6%; TLH 14/190, 7.4%; p=0.55), postoperatively, twice as many patients in the TAH group experienced adverse events of CTC grade 3+ than in the TLH group (33/142, 23.2% and 22/190, 11.6%, respectively; p=0.004). Postoperative serious adverse events occurred more frequently in patients who had a TAH (27/142, 19.0%) than a TLH (15/190, 7.9%) (p=0.002). Interpretation: QoL improvements from baseline during early and later phases of recovery, and the adverse event profile significantly favour TLH compared to TAH for patients treated for Stage I endometrial cancer.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Obesity has been widely regarded as a public health concern because of its adverse impact on individuals’ health. Systematic reviews have been published in examining the effect of obesity on depression, but with major emphasis on general obesity as measured by the body mass index. Despite a stronger effect of abdominal obesity on individuals’ physical health outcomes, to our best knowledge, no systematic review was undertaken with regard to the relationship between abdominal obesity and depression. This paper reports the results of a systematic review and meta-analysis of cross-sectional studies examining the relationship between abdominal obesity and depression in a general population. Multiple electronic databases were searched until the end of September 2009. 15 articles were systematically reviewed and meta-analyzed. The analysis showed that the odds ratio of having depression for individuals with abdominal obesity was 1.38 (95% CI, 1.22–1.57) as compared to those who are not obese. Furthermore, it was found that this relationship did not vary with potential confounders including gender, age, measurement of depression and abdominal obesity, and study quality.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Objective Analgesia and early quality of recovery may be improved by epidural analgesia. We aimed to assess the effect of receiving epidural analgesia on surgical adverse events and quality of life after laparotomy for endometrial cancer. Methods Patients were enrolled in an international, multicentre, prospective randomised trial of outcomes for laparoscopic versus open surgical treatment for the management of apparent stage I endometrial cancer (LACE trial). The current analysis focussed on patients who received an open abdominal hysterectomy via vertical midline incision only (n = 257), examining outcomes in patients who did (n = 108) and did not (n = 149) receive epidural analgesia. Results Baseline characteristics were comparable between patients with or without epidural analgesia. More patients without epidural (34%) ceased opioid analgesia 3–5 days after surgery compared to patients who had an epidural (7%; p < 0.01). Postoperative complications (any grade) occurred in 86% of patients with and in 66% of patients without an epidural (p < 0.01) but there was no difference in serious adverse events (p = 0.19). Epidural analgesia was associated with increased length of stay (up to 48 days compared to up to 34 days in the non-epidural group). There was no difference in postoperative quality of life up to six months after surgery. Conclusions Epidural analgesia was associated with an increase in any, but not serious, postoperative complications and length of stay after abdominal hysterectomy. Randomised controlled trials are needed to examine the effect of epidural analgesia on surgical adverse events, especially as the present data do not support a quality of life benefit with epidural analgesia. Keywords Endometrial cancer; Hysterectomy; Epidural; Adverse events

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Objective To summarise how costs and health benefits will change with the adoption of total laparoscopic hysterectomy compared to total abdominal hysterectomy for the treatment of early stage endometrial cancer. Design Cost-effectiveness modelling using the information from a randomised controlled trial. Participants Two hypothetical modelled cohorts of 1000 individuals undergoing total laparoscopic hysterectomy and total abdominal hysterectomy. Outcome measures Surgery costs; hospital bed days used; total healthcare costs; quality-adjusted life years; and net monetary benefits. Results For 1000 individuals receiving total laparoscopic hysterectomy surgery, the costs were $509 575 higher, 3548 hospital fewer bed days were used and total health services costs were reduced by $3 746 221. There were 39.13 more quality-adjusted life years for a 5 year period following surgery. Conclusions The adoption of total laparoscopic hysterectomy is almost certainly a good decision for health services policy makers. There is 100% probability that it will be cost saving to health services, a 86.8% probability that it will increase health benefits and a 99.5% chance that it returns net monetary benefits greater than zero.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

Forty-three children with recurrent abdominal pain who had received treatment from a paediatric gastroenterology clinic were reassessed 6 and 12 months after initial presentation. Measures of children's pain included a pain diary (PD) which measured pain intensity, a parent observation record (POR) which assessed pain behaviour and a structured interview to assess the degree to which pain interferes with the child's activities. Pretreatment measures of the child's history of pain, coping strategies in dealing with pain, and their mother's caregiving strategies were examined as predictors of two indices of clinical improvement: the extent of change in pain on the child's pain diary from pre-test to 6 months follow-up, and the degree of interference to the child's activities. All children had shown significant improvement in the level of pain at follow up, with 74.4% being pain free at 12 month follow-up on the PD and 83.7% being pain free on the POR. The amount of change they showed varied, with some showing residual impairment even though they were significantly improved. Regression analyses showed that children with greatest reductions on the child's pain diary at the 6 month follow-up were those with a stress-related mode of onset, whose mothers used more adaptive caregiving strategies, and who received cognitive behavioural family intervention. There was also a non significant trend for younger children to fare better. These data suggest the importance of early diagnosis and routinely assessing parental caregiving behaviour and beliefs about the origins of pain in planning treatment for children with RAP.

Relevância:

20.00% 20.00%

Publicador:

Resumo:

This study describes the results of a controlled clinical trial involving 44 7- to 14-year-old children with recurrent abdominal pain who were randomly allocated to either cognitive-behavioral family intervention (CBFI) or standard pediatric care (SPC). Both treatment conditions resulted in significant improvements on measures of pain intensity and pain behavior. However, the children receiving CBFI had a higher rate of complete elimination of pain, lower levels of relapse at 6- and 12-month follow-up, and lower levels of interference with their activities as a result of pain and parents reported a higher level of satisfaction with the treatment than children receiving SPC. After controlling for pretreatment levels of pain, children's active self-coping and mothers' caregiving strategies were significant independent predictors of pain behavior at posttreatment.